Le 5 novembre prochain, les États-Unis éliront leur nouveau président. Il s'agira du républicain Donald Trump ou de la démocrate Kamala Harris.Les deux candidats rivalisent d'ingéniosité pour inciter les jeunes à voter pour eux. Ils font notamment appel à de nombreuses célébrités pour leurs meetings. Récemment, c'est le rappeur 50 Cent qui avait été contacté par les équipes de Donald Trump.
Le rappeur 50 Cent refuse une grosse somme pour participer à un meeting de Donald Trump
3 millions de dollars. C'est la somme que le rappeur américain 50 Cent a refusé. Il lui aurait pourtant suffi de participer au grand meeting de campagne organisé par Donald Trump, en juillet dernier. Ce grand rassemblement réunissait plusieurs milliers de soutiens de l'ancien président des États-Unis.Dans une interview accordée dans l'émission de radio The Breakfast Club, 50 Cent a été interrogé par l'animateur DJ Envy à propos d'une rumeur. Celle-ci soutenait que 50 Cent aurait été approché par le camp républicain pour qu'il interprète sa chanson "Many Men" lors de la Convention nationale républicaine. Le rappeur a confirmé la rumeur.
50 Cent préfère rester loin de la politique
"Je ne suis pas allé loin dans la discussion… Je ne leur ai pas parlé de ce genre de choses. J'ai peur de la politique. C'est parce que quand on s'en mêle, peu importe ce que l'on ressent, il y a toujours quelqu'un qui n'est pas d'accord avec nous. Vous comprenez ? Je n'aime rien de tout ça", confiait 50 Cent, préférant prendre ses distances avec la politique.D'autres artistes se sont engagés lors de cette campagne. Taylor Swift, Beyoncé ou le rappeur Eminem se sont affichés aux côtés de Kamala Harris. Donald Trump a, lui, pu compter sur le soutien de l'humoriste Tony Hinchcliffe, du catcheur Hulk Hogan, mégastar dans les années 1980, ou encore de Robert Francis Kennedy Jr, ancien démocrate et neveu de J.F.K.
Donald Trump fait à nouveau polémique
Donald Trump a récemment créé la polémique avec des propos jugés racistes. L'ancien président des États-Unis a comparé Porto Rico à "une île flottante d'ordures au milieu de l'océan". Une saillie mal venue sachant que beaucoup de portoricains habitent New York. Le camp républicain a expliqué qu'il ne s'agissait que d'une mauvaise blague.Donald Trump a pu compter sur un soutien de choix lors de cette campagne, l'homme le plus riche du monde, Elon Musk. Le fondateur de Tesla vient, comme promis, d'offrir un million de dollars à des personnes ayant signé une pétition en soutien à Donald Trump. Qui du républicain ou de la démocrate l'emportera ? Réponse mardi prochain !