Avec le scandale de violences physiques et sexuelles de Notre-Dame-de-Bétharram, la parole se libère. Chaque semaine apporte son lot de témoignages d’anciens élèves d’établissements privés catholiques. Si certains ont été victimes de violences sexuelles, tous décrivent des punitions physiques, pourtant interdites, mais longtemps tolérées. Comment l’expliquer ? Loi du silence, mœurs, écoles rarement contrôlées… Les raisons sont multiples.