La ministre de la Culture est soupçonnée d’avoir perçu 900 000 € d’une filiale de l’alliance Renault-Nissan, pour des missions de conseils pas réellement fournies, entre 2010 et 2012. Son contrat, signé le PDG du constructeur automobile aurait servi, selon le parquet financier, à masquer une activité de lobbying au Parlement européen.