Les États-Unis ont lancé, ce dimanche, un programme de réinstallation pour des Afrikaners, après les accusations de «discrimination raciale» lancées par Donald Trump. Le gouvernement sud-africain a rejeté ces allégations, tout en ne s'opposant pas à ceux qui souhaitent quitter le pays. Un groupe sélectionné. Le président américain Donald Trump a proposé d'offrir le statut de réfugié aux Afrikaners, une communauté de Sud-Africains blancs descendants des colons néerlandais, qu'il considère victimes de «discrimination raciale» en Afrique du Sud. En réponse, les autorités sud-africaines ont rejeté ces accusations, affirmant qu'elles étaient infondées. Vendredi, Pretoria avait exprimé sa «préoccupation» après la révélation dans les médias américains de l'accueil dès la semaine qui arrive d'Afrikaners, soulignant que «les allégations de discrimination ne sont pas fondées». Ce dimanche, «49 personnes» devaient décoller du principal aéroport de Johannesburg dans un avion spécialement affrété, selon un porte-parole du ministère sud-africain des Transports, Collen Msibi. «La demande ...