La Haute autorité de Santé a rendu mardi son avis, sollicité par le ministère, sur la législation sur la fin de vie, dont les débats doivent reprendre le 12 mai à l'Assemblée. Elle juge "impossible" de déterminer qui pourrait bénéficier d'une aide à mourir en se basant sur un pronostic vital engagé "à moyen terme" ou sur une "phase terminale" de maladie.