Ce texte, qui sera débattu ce lundi à l'Assemblée nationale, est "profondément déséquilibré" et "fait sauter tous les verrous", a déclaré le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau ce samedi 10 mai. Line Renaud et Gabriel Attal estiment, quant à eux, qu'il est nécessaire d'agir "pour offrir aux malades la liberté de choix".