Une étude parue mardi dans la revue scientifique « The Lancet » estime que la baisse drastique des financements américains dédiés à l’aide internationale pourrait entraîner la mort de plus de 14 millions de personnes supplémentaires d’ici 2030. Ces aides permettaient jusqu’ici d’éviter un grand nombre de décès liés au sida ou au paludisme.