Une patiente, qui a pris le médicament Androcur pendant plus de vingt ans, a obtenu plus de 300 000 € d’indemnisation de la part des laboratoires Bayer, Viatris et Sandoz pour « défaut d’information » sur la molécule, ce lundi 2 juin. Une première en France, pour cette femme souffrant de méningiomes, des tumeurs au cerveau liées à ce traitement hormonal.