En Argentine, la grève générale lancée par la CGT contre l'austérité et la perte du pouvoir d'achat a montré des divisions dans le soutien populaire. Si certains secteurs comme les transports ont été perturbés, d'autres, tels que les écoles et les bus, sont restés en grande partie fonctionnels. Le gouvernement de Javier Milei, critiqué pour ses politiques, a minimisé l'ampleur de la grève.