
Candidate à la succession de David Lappartient à la tête du Comité national olympique et sportif français (CNOSF), face à Didier Séminet, Amélie Oudéa-Castéra a dénoncé à son tour « l'amputation de l'aide de l'État de 75 % en un coup » via la convention triennale d'objectifs signée avec le ministère des Sports.