
J’ai ouvert Absolute Batman comme on entre dans une cathédrale gothique, un soir de pleine Lune et d'orage. Ce que j’y ai trouvé ? Le reflet d’un monde en ruine, et d’un homme qui s’obstine à croire qu’il peut encore le réparer… Une Gotham défigurée, un Bruce Wayne sans fortune, et un Batman qui surgit des ombres comme une force brute. Décontenancé ? Oui, plutôt.