
À la veille de la fête nationale, ce 5 juillet, Alger promettait une grâce collective, ciblant 6500 prisonniers. Or, une précision clé rendait les perspectives sombres pour Boualem Sansal et d'autres. En effet les personnes « ayant porté atteinte à l’unité nationale » seraient automatiquement exclues . Sansal était hors-jeu. L'écrivain reste incarcéré à Koléa, malgré les attentes... et aucun appel en Cassation ne se profile, l’option légale semble épuisée .