Le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Chems-eddine Hafiz, a estimé ce vendredi qu’une grâce de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal était envisageable. «Il a passé six mois en prison. Six mois, c’est trop pour lui. (…) J’espère de tout mon cœur qu’il soit gracié.» Invité sur Sud Radio, ce vendredi, Chems-eddine Hafiz est revenu sur le cas de Boualem Sansal, condamné à cinq ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de Dar El Beida, près d’Alger. Algérie : "J'appelle de mes vœux à la grâce de Boualem Sansal, à l'occasion du Ramadan, qui est un moment de pardon. Je pense que le président Tebboune le fera" déclare @chemshafiz, recteur de la Grande Mosquée de Paris pic.twitter.com/nFfsHZ1lCk — Sud Radio (@SudRadio) March 28, 2025 «Si on fait de la politique-fiction, je pense que le président de la République algérienne va décider de sa grâce», a déclaré le recteur de ...