C'est une décision de justice très attendue. Ce jeudi 10 juillet, quatre hommes comparaissent devant le tribunal correctionnel de Paris. Ils sont poursuivis pour avoir harcelé en ligne et de manière sexiste Brigitte Marcon. Très engagée contre le harcèlement et le cyberharcèlement, la Première dame n'avait pas laissé passer. Elle avait décidé de porter plainte en août 2024.Le parquet de Paris relate qu'au cœur de ce procès seront évoqués les nombreux messages malveillants rédigés à l'encontre de l'ancienne professeur de Français. Des propos portant sur le genre, la sexualité de Brigitte Macron ou encore sa différence d'âge avec le président de la République. Il y a, aussi, cette "infox" selon laquelle Brigitte Macron, née Trogneux, n'aurait jamais existé et aurait cédé sa place à son frère Jean-Michel qui aurait changé de sexe.À noter que les quatre hommes qui comparaissent à la barre encourent jusqu'à 2 ans d'emprisonnement. Le harcèlement et le cyberharcèlement sont punis par la loi en France. Pour rappel, le Gouvernement a mis en place deux numéros pour les victimes. Il y a le 3020 pour le harcèlement et le 3018 pour le cyberharcèlement.
Brigitte Macron et Kate Middleton ravies de se retrouver
Le couple présidentiel a atterri le 8 juillet sur la base aérienne de Northolt, à l’ouest de Londres. Emmanuel Macron et sa femme Brigitte ont alors été accueillis par le prince héritier William et sa femme, Kate Middleton. Le frère du prince Harry et le chef de l’État se sont d’abord réjouis de leurs retrouvailles. Puis, ce dernier s'est ensuite approché de la princesse de Galles pour lui faire un baisemain. La maman de George, Charlotte et Louis qui a également été flattée par Brigitte Macron. "Oh, ça fait tellement plaisir de vous voir, vous êtes superbe" a lancé la native d'Amiens. Il faut dire que les deux femmes ne s'étaient pas vues depuis quatre ans lorsque le couple français s’était rendu à Carbis Bay pour assister à la réunion du G7. Entre-temps, la belle-fille de Charles III a surmonté une terrible épreuve : celle du cancer.
Geoff Pugh/Daily Telegraph/PA Wire