Bruno Guillon, sa femme et leur enfant séquestrés : du nouveau dans l’affaire

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Plus d’un an après avoir vécu l’enfer, Bruno Guillon a vu la justice prendre des décisions aux sujet de ses assaillants. En effet, les deux mineurs, parmi les sept accusés du home-jacking dont a été victime l’animateur en septembre 2023, ont été condamnés en novembre dernier comme le révèle BFMTV ce vendredi 17 janvier 2025. Le média donne quelques précisions et indique que c’est le tribunal pour enfants de Versailles qui les a condamnés le 14 novembre 2024 pour des faits d’enlèvement et séquestration, vol avec violence et participation à une association de malfaiteurs. Au niveau des peines, la justice a décidé de condamner les deux mineurs à 5 et 3 ans d'emprisonnement, assorties d'une partie avec sursis. Si le tribunal de Versailles a rendu son verdict pour les deux mineurs, cinq autres accusés attendent leur sentence.

Deux des assaillants de Bruno Guillon, condamnés

En effet, comme le précise BFMTV, les cinq autres majeurs passeront, eux, devant le tribunal correctionnel de Versailles la semaine prochaine, le 22 janvier. Ils vont également devoir répondre de leurs actes commis dans la nuit du 26 au 27 septembre 2023.Cette nuit-là, Bruno Guillon a vécu l’enfer. L’animateur de Fun Radio et France 2 a en effet vu quatre hommes entrer par effraction dans son domicile de Tessancourt-sur-Aubette, dans les Yvelines. Pour dissimuler leurs identités, les malfaiteurs portaient des casquettes, des capuches et des masques chirurgicaux. Chez l’animateur radio, les malfaiteurs ont séquestré celui-ci en compagnie de sa femme et ses enfants, au couteau.

L'animateur a gardé son humour, même deux jours après les faits

Ils ont ainsi pu repartir avec de l’argent, des bijoux, des montres, ou encore des sacs de luxe. Le tout, pour un préjudice estimé à plusieurs dizaines de milliers d’euros. Deux jours après le drame, Bruno Guillon a tout de même souhaité reprendre son travail et revenir à l’antenne.À son retour, il a prouvé que, malgré le traumatisme, il n’avait rien perdu de son humour. À sa prise d’antenne, il a en effet indiqué avoir retenu deux choses de cette nuit difficile. "D’abord, on n’est riche que de ses amis", a-t-il confié dans un premier temps, avant de faire preuve d’humour : "Le deuxième truc, c’est qu’il faut garder un slip quand on dort car on ne sait jamais comment on va être réveillé le matin. J’ai passé une demi-heure avec un pétard sur le front - pas la cigarette qui fait rire, le revolver -, les mains attachées dans le dos, et à poil !".

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