
« Pendant des années et de livre en livre, j’ai tourné autour. Jusqu’à ce qu’une amie historienne m’emprunte des photographies de ma mère pour une exposition dans un musée chinois. Simone, ma mère, Simone Émonet, s’y montrait si jolie, élégante, heureuse. J’étais prête, alors, à raconter son suicide, et bien sûr ce qu’il m’avait fait. »