Une mésaventure qu'elle n'oubliera pas de sitôt. Ce samedi 16 novembre 2024, Cécile Siméone, ancienne animatrice de télévision devenue décoratrice d'intérieur, a pris la parole sur Instagram pour partager une expérience traumatisante avec ses abonnés.Face caméra, elle a en effet expliqué avoir été agressée par un cycliste à un feu rouge. L'incident s'est visiblement produit vendredi, sur une voie reliant la commune de Sainte-Foy-lès-Lyon à Lyon, juste après qu'elle l'ait dépassé en voiture. Une situation qu'elle aurait préférée éviter, mais qu'elle a décidé de rendre publique pour sensibiliser.
Cécile Siméone frappée au visage
"Comme tous les jours, je prends le chemin de Fontanières, qui est très sinueux, très étroit et à double sens", a-t-elle fait savoir. "Je dépasse un cycliste, puis je le vois s’agiter dans mon rétroviseur. Je me dis qu’il ne doit pas être content. Peut-être a-t-il pensé que j’étais passée trop près de lui, ce qui n’est absolument pas le cas."
Quelques mètres plus loin, à un feu rouge, le cycliste aurait alors garé son vélo contre le pare-chocs de la voiture de Cécile Siméone.
Prête à lui demander des explications, la compagne de l'ex-gardien de football professionnel Dominique Casagrande aurait alors abaissé sa vitre. Mais elle n’aurait pas eu le temps de finir sa phrase que l’homme l’aurait frappée violemment.
"Hier, j’ai pris un coup de poing. Je n’ai pas été poussée, ni giflée, on ne m’a pas tiré les cheveux. Non, j’ai pris un coup de poing", a-t-elle confié. "Je n’ai rien, ne vous inquiétez pas. J’ai eu la chance de tourner la tête, donc je l’ai pris dans l’oreille. Bon, j’ai encore mal au cartilage, mais pour le reste, tout va bien".
L'ex-animatrice ne souhaite pas porter plainte
Malgré la violence des faits, elle aurait pris la décision de ne pas porter plainte. "Je ne vais pas aller dans un poste de police et faire chier des policiers pendant cinq heures avec ma photo de ce mec de dos", a-t-elle précisé avant de s'en prendre à la politique de la métropole de Lyon. "C’est mal géré, il y a des aberrations (…) Aujourd’hui, une voiture dans Lyon ne dépasse pas les 30 km/h, les vélos roulent plus vite que nous (…) Beaucoup de vélos ne respectent pas le Code de la route. C’est la vérité, et ça crée ce genre de tensions". C'est dit !