Accusé par les États-Unis de fraudes électroniques commises entre 2017 et 2020, Sami D. risque 207 ans de prison s’il est extradé vers ce pays. L’avocat de l’Algérien de 39 ans, qui a été interpellé à l’été 2024 à Paris, a demandé le rejet de la demande d’extradition lors d’une audience ce mercredi.