Trois cents milliards de dollars par an d'ici dix ans : les pays développés ont annoncé dimanche à Bakou un engagement à intensifier leur soutien financier aux nations vulnérables, confrontées aux impacts du changement climatique. Cette annonce conclut une conférence de l’ONU en Azerbaïdjan marquée par des désaccords et des tensions, laissant le monde en développement sur une note d’amertume. "Le financement promis pour 2035 est insuffisant, tardif et manque de clarté", a notamment déploré Ali Mohamed, représentant du groupe africain et originaire du Kenya.