Une opération baptisée "Prison Break" a ciblé 66 prisons françaises pour saisir 5.000 téléphones miniatures illégalement introduits. Importés de Chine et revendus par Oportik, ces appareils ont servi à des crimes graves depuis les cellules. Trois fournisseurs ont été interpellés, l’ANSSI vérifie des risques cyber.