La mémoire d’Auguste Gonsard, un cultivateur de Préaux dans l’Orne, injustement condamné par un Conseil de guerre pour « mutilation volontaire et abandon de poste en présence de l’ennemi », est lavée de la condamnation, dix ans après l’exécution du soldat qui a eu pour seul tort d’avoir été blessé à la main gauche.