"Danse avec les stars" : pourquoi Laurent Kérusoré refuse catégoriquement de participer à l’émission ?

il y a 1 semaine 3

Découvrir les talents de danse de Laurent Kérusoré sur le parquet de Danse avec les stars vous fait rêver ? Sachez que cela aurait pu être possible. En effet, le comédien qui interprète Thomas Marci dans la série Plus belle la vie a révélé à David Barbet avoir été contacté pour participer au programme de danse de TF1.Néanmoins, le principal intéressé aurait décliné la proposition. Au micro de notre confrère pour Télépro, l’artiste âgé de 50 ans a donné les raisons de ce refus. Et a fait preuve de franchise pour expliquer son choix. 

Laurent Kérusoré a dit "non" à "Danse avec les stars"

"On m’a proposé ‘Danse avec les stars’ mais j’ai refusé", a avoué Laurent Kérusoré à David Barbet avant d’expliquer les raisons de cette décision : "Je comprends que cela fasse partie de la promo. Mais je ne ressens pas le besoin de faire la promo de ma propre personne. Ceux qui me suivent seraient étonnés de me voir dans cette émission."Mais s’agit-il du seul programme de TF1 que le comédien de Plus belle la vie a refusé ? Visiblement. En tout cas, l’interprète de Thomas Marci a assuré qu’on ne lui avait "jamais proposé Mask Singer". Reste à savoir si Laurent Kérusoré pourrait être intéressé par le projet.D'ailleurs, après la dernière saison ayant suscité de nombreuses polémiques, notamment à cause de l'altercation entre Inès Reg et Natasha St-Pier, le programme de danse de la Une devrait tout de même faire son retour en 2025. Mais celui-ci se fera, ainsi, sans la présence de l'acteur de Plus belle la vie.

Il revient sur les agressions qu'il a subies

En plus des télécrochets que la Une lui aurait proposés, Laurent Kérusoré a accepté de revenir sur les agressions physiques dont il a été victime par le passé. "J’ai été quelques fois aux urgences, les cons c’est eux. J’ai subi pas mal d’agressions", s’est-il souvenu.Néanmoins, l’acteur de 50 ans n’a pas souhaité porter plainte malgré les agressions dont il a fait l’objet. Car il a "autre chose à faire" : "J’ai un instinct de survie assez développé. Après une agression, je déprime deux ou trois jours et je repars. Je ne serais jamais un porte-drapeau LGBT. Je suis un peu dépassé."

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