Des températures divisées par deux, en moins de quarante-huit heures. La France a connu, durant la première semaine de mai, un véritable yo-yo météorologique. Devenu un des marqueurs du dérèglement climatique, ce revirement brusque du mercure devrait devenir de plus en plus intense et fréquent, rapporte un article scientifique publié dans la revue « Nature » fin avril.