La plus grande forêt du monde a perdu plus de 88 millions d’hectares en 40 ans, soit près de 12,5 % de sa surface, selon une étude d’un collectif de chercheurs et d’ONG publié en ce mois de septembre. Cette « transformation » favorise le réchauffement climatique, l’Amazonie jouant le rôle de « puits de carbone » absorbant une partie des émissions de CO2.