Deux hommes ont été arrêtés et mis en examen cette semaine pour une fraude présumée visant Uber Eats, orchestrée via un canal Telegram nommé "Fast Eats". Cette opération aurait causé un préjudice de 2,4 millions d'euros à la plateforme de livraison de repas, selon des sources judiciaires et proches de l'enquête. L'information révélée par le Parisien a été confirmée à l'AFP par le parquet de Paris.