Si certaines entreprises souffrent déjà des allers-retours dans les négociations sur les droits de douane, comme Stellantis ou Seb, d’autres commencent à revoir leur stratégie, en prévision d’une hausse des droits de douane. Encore faut-il avoir de la marge, comme c’est le cas pour le géant du luxe LVMH.