Une échographiste jugée depuis le 5 mai à Dunkerque (Nord) pour avoir effectuée des «échographies de plaisir» connaîtra son sort ce lundi 2 juin. Un procès inédit. Depuis le 5 mai, c'est une affaire encore jamais traitée qui est jugée au tribunal de Dunkerque. Une échographiste est accusée d'avoir réalisé des «échographies de plaisir». Autrement dit, des échographie qui n'ont pas de visées médicales ou diagnostiques. Avec pour objectif principal de permettre aux parents de visualiser leur bébé en 3D ou 4D pour des raisons émotionnelles de divertissement. Elle est donc poursuivie pour utilisation non autorisée d’un échographe et exercice illégal de la profession de sage-femme. Les faits remontent à septembre 2023, à Hazebrouck (Nord) lorsqu'elle ouvre un cabinet proposant des clichés 3D de bébés in utero, sans visée médicale. Une activité revendiquée comme transparente : inscription au registre du commerce, création d’un site internet, et validation systématique que la ...