Goodyear est convoqué le 13 mai devant la justice à Besançon pour une possible mise en examen pour “homicides involontaires” et “tromperie”, après des accidents mortels liés à des pneus défectueux. Une lanceuse d’alerte, veuve d’une victime, est à l’origine de l’enquête ouverte en 2016 envers ce géant de la pneumatique.