"Écouter et s’en battre les c…", Karine Le Marchand s’en prend à Emmanuel Macron et Michel Barnier

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À l'approche des élections professionnelles, la mobilisation des agriculteurs reste intense. Ces derniers s'apprêtent à entrer dans une seconde semaine d'actions et de manifestations, toujours en ordre dispersé mais fermement déterminés à exercer une pression continue sur le gouvernement, rapporte La Dépêche. Leur principale cible : le traité de libre-échange négocié par l'Union européenne avec les pays latino-américains du Mercosur. Cet accord était d'ailleurs au cœur des préoccupations lors de la première semaine de mobilisation, où les professionnels du secteur ont exprimé leurs inquiétudes quant à ses impacts sur leur activité.

Karine Le Marchand : un soutien précieux pour les agriculteurs

Figure incontournable du monde agricole, Karine Le Marchand a de nouveau pris la parole sur ses réseaux sociaux pour apporter son soutien aux exploitants.

L'animatrice, toujours très engagée, n'a pas hésité à utiliser sa plateforme pour défendre les agriculteurs et soutenir leurs luttes, renforçant ainsi son rôle de porte-parole de la profession.

"Nouveau verbe inventé pour nos agris depuis 20 ans : Écouiller. Écouiller définition : Écouter et s'en battre les couilles", a-t-elle notamment écrit en story Instagram tout en partageant une photo de la manifestation. Et d'ajouter : "Aucun gouvernement ne prend en compte le malheur agricole".

L'animatrice face aux critiques

Ce n'est pas la première fois que Karine Le Marchand se montre solidaire. En janvier dernier, elle avait déjà participé à un énorme barrage à Paris. Et ce, grâce à Benjamin, un ancien de L'amour est dans le pré.

"C'est lui qui a tout coordonné pour moi. C'est lui ma taupe auprès des jeunes agriculteurs", avait-elle expliqué devant les caméras. "J'ai eu beaucoup de messages d'agriculteurs qui disent : 'vous le dimanche, vous dormez...' J'ai du mal à le dire sans avoir les larmes aux yeux. 'Vous avez le temps d'aller chercher un croissant pour vos enfants, nous 1,20 euro, on ne peut pas l'offrir à nos enfants". Bien que devenue une porte-parole des agriculteurs, l'animatrice vedette fait face à de vives critiques concernant son engagement. À ces remarques, elle réagit toujours avec un franc-parler caractéristique : "Je m'en fous. Fallait pas venir ? Pour deux trois rageux ? J'ai besoin de faire de la com' en fait vous pensez à mon âge ? Je m'en fous complètement de ces gens-là". Un message clair !

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