Il n’y a pas de rupture dans la « promesse française » exposée par le nouveau Premier ministre devant le Parlement, ce mardi. Son discours de politique générale le place dans les pas de Michel Barnier et d’Emmanuel Macron. Les « gestes forts » attendus par les Socialistes n’étant pas au rendez-vous, François Bayrou n’est pas à l’abri d’une motion de censure.