Elle arrête un roman avant la fin et le dit à l'autrice qui en meurt (presque)

il y a 4 jours 2

Ses pages forment un rictus machiavélique, et pendant qu’il vous regarde avec insistance, vous grimacez presque de douleur. Tout plutôt que de revoir sa sale tranche et de supporter ses caractères de cochon. Il serait délectable, jouissif même, de l’abandonner sans autre forme de procès — car résolument il ne vous mérite pas. Vraiment ? 

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