« Emmanuelle », de l’érotisme à l’apologie de la chair triste

il y a 1 jour 1
Était-ce vraiment utile de tenter une version post MeToo, de ce standard de l’érotisme des années 70 ? La réponse est non. Reste l’interprétation de Noémie Merlant impeccable dans cette variation froide sur le désir féminin.
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