Le président Emmanuel Macron a estimé, jeudi 3 juillet, qu’il fallait empêcher l’implantation du loup là « où il y a du pastoralisme » en France. Il s’est dit prêt à autoriser l’abattage d’un plus grand nombre de loups, alors que les attaques se sont multipliées ces derniers mois. Cette posture fait l’objet d’âpres débats entre les éleveurs et les défenseurs du canidé.