Entre «menaces de mort» et insultes, près de Toulouse, les surveillants pénitentiaires sont à bout

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Dans la banlieue de Toulouse, les surveillants du centre de rétention de Seysses vivent un enfer. Ils doivent, en effet, faire face à une violence quotidienne plus forte que jamais. Un phénomène en partie due à la surpopulation carcérale : 692 places pour 1.300 détenus, dont 20% qui dorment à même le sol. Un cas qui est loin d'être unique en France.
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