Plusieurs historiens européens alertent contre les campagnes de désinformation de la Russie de Vladimir, qui invoque la mémoire de la Seconde guerre mondiale pour justifier sa guerre contre l’Ukraine. L’un d’eux, Olivier Wieviorka, entend « continuer à lutter » contre ce révisionnisme, convaincu que la mémoire continuera de transiter par d’autres vecteurs. À condition de la pérenniser.