Le mathématicien et directeur de recherche au CNRS décrypte les dangers de X (ex-Twitter) depuis qu’Elon Musk l’utilise pour son projet politique, et de Facebook, dont Mark Zuckerberg vient de changer les règles. « On ne peut pas laisser l’opinion publique aux mains de réseaux sociaux dépourvus de toute éthique et qui assument utiliser les données à des fins idéologiques », dit-il. Il explique l’initiative HelloQuitteX qui veut faciliter le départ collectif de X le 20 janvier.