Le président américain avait intimé l’ordre à sa ville d’origine d’arrêter le dispositif, lancé en janvier. L’État de New York et son agence des transports en commun ont ignoré à trois reprises les menaces de son ministère des Transports. Peuvent-ils être soumis à des pénalités, comme annoncé à partir de mercredi 28 mai ? Rien n’est moins sûr.