Nicolas Arpagian, spécialiste des risques numériques, émet deux hypothèses concernant les explosions qui ont tué neuf personnes et blessé près de 3 000 personnes, mardi 17 septembre au Liban : soit les bipeurs du Hezbollah ont été piégés à l’explosif avant d’être vendus, soit une surchauffe de ces appareils a été déclenchée à distance.