Faustine Bollaert : qui est le très séduisant Charles, l’autre homme de sa vie après Maxime Chattam ?

il y a 2 semaines 8

Chaque jour, Faustine Bollaert donne la parole à ceux dont la vie a basculé. Sur France 2 dans Ça commence aujourd'hui, comme sur RTL dans Héros, elle recueille les récits bouleversants de femmes et d'hommes au parcours hors norme, avec une bienveillance devenue sa signature.Très présente à l'antenne, l'animatrice n'en reste pas moins profondément attachée à sa vie de famille. Maman comblée de deux enfants, nés de son histoire d'amour avec l'écrivain Maxime Chattam, elle revendique fièrement son tempérament de "maman lionne". Un trait de caractère qu'elle dit avoir forgé dès l'adolescence, grâce à son frère Charles Faraggi.

Faustine Bollaert : son frère face à la maladie

Expatrié outre-Atlantique, l'aîné de Faustine Bollaert a connu un grave incident médical pendant son adolescence. Victime d'une erreur d'anesthésie alors qu'il était encore au lycée, il a traversé une période particulièrement sombre.

Face aux graves ennuis de santé de son frère, la star du petit écran n'a d'ailleurs pas hésité à prendre soin de lui jusqu'à sa guérison.

"Encore aujourd'hui, je suis ultra-protectrice avec lui. Il me dit souvent que je suis plus sa grande sœur que sa petite sœur. En fait j'ai un instinct de lionne : il ne faut pas toucher à un cheveu de ma tribu", confiait-elle en janvier dernier dans les colonnes de Paris Match.

"Je me suis transformée en maman"

Atteint de crises de tétanie, Charles a beaucoup souffert dans sa jeunesse. Par chance, celui qui a posé ses valises à Miami pour étudier les Beaux-Arts a fini par guérir.

"À l'époque, nos rapports ont beaucoup changé. Je me suis transformée en grande sœur, en maman aussi parfois... Nous sommes fusionnels, très complices, même s'il vit, aujourd'hui, aux États-Unis", avait révélé Faustine Bollaert lors d'une interview accordée au Parisien en mars 2024. Au cours de cet entretien, elle avait également évoqué les conséquences de la maladie sur son frère : "Son corps se métamorphosait, ses yeux se révulsaient, il fallait lui donner la becquée... […] Plus personne ne venait à la maison. Il faisait peur et il avait peur. Il a arrêté ses études, perdu ses amis. Il a coulé. Il voulait mourir, je l'ai rattrapé in extremis à plusieurs reprises". De touchantes déclarations.

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