
Avec Le bleu est la couleur la plus rare, Sarah Schmidt scrute les failles de la transmission et les silences hérités à travers trois générations de femmes australiennes. Un roman sans pathos, porté par une langue viscérale.
Avec Le bleu est la couleur la plus rare, Sarah Schmidt scrute les failles de la transmission et les silences hérités à travers trois générations de femmes australiennes. Un roman sans pathos, porté par une langue viscérale.