Invité à réagir au non-renouvellement de la fréquence de C8, l'écrivain et éditorialiste Franz-Olivier Giesbert a dénoncé "une honte" et a accusé l'Arcom de faire "ce que le pouvoir lui dit". Selon lui, cette décision du gendarme de l'audiovisuel est un coup porté à la "liberté d'expression".