Festival d’Angoulême : victime de viol et licenciée, Chloé espère justice
il y a 4 heures
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À la veille de l'ouverture du 52e festival international de bande dessinée d'Angoulême, Chloé, un prénom d'emprunt, est stressée. Elle ne travaille plus pour le festival depuis février dernier et tente aujourd'hui de comprendre ce qui lui est arrivée... Lire la suite de l'article sur Elle.fr