Festival de Cannes 2025 : Leïla Bekhti sublime en robe blanche, vole la vedette à son mari Tahar Rahim sur le tapis rouge

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Plus que quelques jours avant la clôture de la 78e édition du Festival de Cannes. Depuis le 13 mai, le sud de la France vit au rythme des projecteurs, des flashs et des tapis rouges. De Rihanna à Virginie Efira, en passant par James Franco, Denzel Washington ou encore Carla Bruni, les plus grandes stars mondiales s'y succèdent.

Leïla Bekhti sublime sur les marches du Palais des Festivals

Lundi 19 mai, une nouvelle figure a d'ailleurs fait sensation sur la Croisette. Leïla Bekhti, récemment acclamée pour son rôle dans Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan, a brillé lors de la présentation du film Alpha de Julia Ducournau, où son mari Tahar Rahim partage l'affiche avec Mélissa Boros et Golshifteh Farahani.

Venue soutenir l'homme qui partage sa vie depuis 2010, l'actrice a fait une apparition remarquée dans une somptueuse robe blanche aux épaules dénudées, qui épousait parfaitement ses courbes. À ses oreilles, de magnifiques boucles en diamant captaient la lumière, assorties à une bague précieuse et une paire d'escarpins blancs. Côté mise en beauté, Leïla Bekhti avait opté pour un rouge à lèvres bordeaux intense et des cheveux plaqués avec soin. Un look à la fois chic et audacieux, qui lui allait à merveille.

Un film lourdement critiqué

Si Leïla Bekhti a sorti le grand jeu pour la projection d'Alpha, sa présence éclatante n'a pas suffi à faire oublier l'accueil tiède réservé au film. Le nouveau projet ambitieux de Julia Ducournau, centré sur l'histoire d'une adolescente rebelle vivant seule avec sa mère, n'a pas convaincu la critique. L'intrigue, qui bascule lorsque la jeune fille rentre un jour de l'école avec un tatouage mystérieux sur le bras, n'a pas su séduire les festivaliers.Nos confrères d'Écran Large, comme bien d'autres, n'ont d'ailleurs pas été tendres avec le long-métrage qu'ils considèrent comme un "fourre-tout" qui "ne sait pas choisir entre son réalisme poétique et ses élans plus naturalistes. Passé son trio de tête, le reste des personnages secondaires n’a jamais l’occasion d’exister (pauvre Emma Mackey, limitée à de la figuration de luxe), et le worldbuilding prémâché de l’ensemble ne cherche même pas à cacher sa seule nature allégorique." Aïe...

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