L’avocat de l’enseignante accusée d’avoir violenté une petite fille de 3 ans dans une école à Paris a déclaré auprès de « franceinfo » que sa cliente se trouvait « en état de choc » et regrettait son geste. Maître Hazan a notamment jugé « calomnieuses » les accusations autour d’un précédent signalement émis en 2012 pour des faits similaires.