Une femme de 33 ans est jugée en appel à partir de ce lundi 23 juin, pour avoir brûlé vif son grand-père de 95 ans en 2020. Au premier jour d’audience, les témoins appelés à la barre ont décrit les « difficultés psychologiques » auxquelles faisait face l’accusée au moment des faits. Son avocat, lui, parle d’un « geste d’amour ».