Groupe de hackers aux origines méconnues, les «Predatory Sparrow» ont multiplié les attaques contre les infrastructures iraniennes, depuis le début de la guerre entre Israël et la République islamique. La guerre entre l’Iran et Israël est aussi numérique. Depuis plusieurs jours, le groupe de hackers «Predatory Sparrow», que l’on peut traduire par «Moineaux prédateurs» a multiplié les attaques contre des infrastructures de la République islamique. L’organisme a récemment fait parler de lui en revendiquant mardi dernier une cyberattaque contre Sepah, une banque d’état iranienne, puis une contre une des principales plate-formes d’échange de cryptomonnaies iranienne, Nobitex. Des offensives qui auraient coûté plusieurs millions de dollars à Téhéran. Destruction of the infrastructure of the Islamic Revolutionary Guard Corps “Bank Sepah” We, “Gonjeshke Darande”, conducted cyberattacks which destroyed the data of the Islamic Revolutionary Guard Corps’ “Bank Sepah”. “Bank Sepah” was an institution that circumvented… pic.twitter.com/1r4XyDmXcJ — Gonjeshke Darande (@GonjeshkeDarand) June 17 ...