Les députés ont entamé mercredi en commission des Affaires sociales l'examen du texte sur la fin de vie, scindé en deux propositions de loi, l'une portant sur les soins palliatifs, et l'autre sur "l'aide à mourir". Sur ce dernier texte, les conditions d'accès inquiètent de nombreux soignants, notamment pour ce qui est des patients souffrant de maladies mentales.