
Dans Ni dieu ni IA, Mathieu Corteel amorce un voyage critique au cœur des paradoxes contemporains entourant l'IA. Au lieu de céder à l'habituel enthousiasme ou au catastrophisme anxieux, il adopte un scepticisme raisonné. Et questionne les limites de notre délégation systématique de pouvoir à des machines dont nous oublions trop facilement l'intrinsèque amoralité.