Elle lance un appel à candidatures pour associer une quinzaine d’adolescents à ses travaux. « Ce serait un non-sens de bâtir une politique d’accompagnement pour les jeunes sans les écouter », explique la présidente, Solène Podevin-Favre. Qui dénonce, par ailleurs, le « silence assourdissant » du gouvernement sur les 82 recommandations présentées l’an dernier.