Cinq ans de prison et cinq ans d’inéligibilité ont été requis à l’encontre de Marine Le Pen, mercredi 13 novembre, dans le procès des assistants parlementaires du Front national (ex-Rassemblement national). Le parti d’extrême droite a décidé de lancer une pétition afin de soutenir sa leader et de « défendre la démocratie ».